L’expérience de mort imminente


Dans la première partie de ce texte, preuve vérifiable par n’importe qui ayant quelques connaissances élémentaires en électricité, est donnée et confirme que ce que j’ai vécu durant 18 jours de presque mort est bien réel et que je n’ai pas halluciné.

La conception de l’univers fait d’ondes intelligentes manipulant le chaos bien organisé de la matière et apprise durant l’expérience de mort imminente pose plusieurs problèmes.

1) Comment vérifier facilement qu’il y a des ondes de ce type autour de nous ?

Il suffit d’écouter par exemple les scientifiques.

Ils nous le disent sans le savoir.

Dernièrement, l’un d’entre eux nous disait dans un documentaire que le renouveau printanier dépendait de la durée de luminosité des journées.

Ah oui ! Et où se trouve l’ordinateur qui calcule cette durée, la latitude à laquelle ce renouveau doit se passer et le réseau de communication pour coordonner le comportement des végétaux et des animaux ?

On ne le voit pas, n’est-ce pas ! Au lecteur de tirer sa conclusion.

On peut ainsi trouver de nombreux autres exemples où quelqu’un invoque une cause matérielle et où on ne cherche pas plus loin.

Cela s’appelle la cécité cognitive.

Le terrien, bien souvent, ne se rend pas compte de ce qu’il ne perçoit pas et notre éducation dressage nous limite bien souvent à la matière.

Pourquoi s’obstiner en effet à n’étudier que la matière alors que celle-ci ne représente qu’un grain de poussière dans l’océan du vide ?

2) Quid concernant dieu ou les dieux et autres religiosités ?

La ou les identités invoquées par les religions importent peu. Ce qui compte, c’est la vibration appelante de l’intention.

Les ondes concernées vont se regrouper et adhérer à l’objectif poursuivi.

Faire gaffe évidemment à notre formulation de l’objectif poursuivi. Les ondes maléfiques et bénéfiques sont à notre disposition parce que nous sommes des êtres libres.

Le processus de connaissance chez chacun de nous comprend toutes les dichotomies et chaque borne ayant son opposée, nous ne pouvons connaître ou expérimenter l’une sans connaître ou expérimenter l’autre.

D’ailleurs, Bouddha ne recommandait-il pas la voie du milieu ?

Les bornes de ce processus de connaissance sont interchangeables. Comme on peut faire un mal pour un bien, on peut aussi utiliser des ondes maléfiques pour améliorer un état ou une situation.

3) Quid du déterminisme et du hasard ou de l’aléatoire ?

Cette problématique a souvent préoccupé les philosophes et les scientifiques.

Les ondes intelligentes qui nous entourent et remplissent l’espace entre les particules et les objets de l’univers transforment continuellement les interactions aléatoires en processus d’évolution à leur avantage.

Le déterminisme et l’aléatoire sont donc complémentaires comme le sont toutes les dichotomies lorsqu’elles sont utilisées adroitement.

4) Pour que les particules et les objets vivants ou inertes puissent se différencier, il faut évidemment des filtres. Il faut que tout soit doté d’éléments qui perçoivent et émettent.

C’est la problématique soulevée notamment par le philosophe Merleau-Ponti concernant sa main percevant perçue.

Si nous percevions toutes les ondes y compris celles de la matière, nous devrions vivre dans un brouillard extrême ou une nuit noire.

D’où la nécessité d’interfaces intermédiaires pour discerner les ondes qui régissent les formes et la matière autour de nous.


A travers le rapport succinct qui suit concernant ma propre expérience de mort imminente, il est possible au lecteur de se faire une idée et il va de soi que je tiens compte des 4 points précités pour décrire et commenter les étapes de l’aventure.


Tout commence avec une plainte déposée contre un pédophile qui a violé ma fille alors que celle-ci n’a que 14 ans. Les faits ont eu lieu durant les grandes vacances de 1995 mais ce n’est qu’en novembre 1996 que j’en ai connaissance. Le temps de préparer ma fille au dépôt d’une plainte parce qu’elle doit témoigner, c’est en janvier 1997 que je fais ma déclaration à la gendarmerie.

Les gendarmes arrêteront l’individu en juin 1997.

A l’occasion, j’apprendrai que l’homme possédait un carnet avec 33 noms de petites jeunes filles et que 5 ou 6 familles avaient déposé plainte.

J’apprendrai également que le beau-père du pédophile est un policier.

Il s’agissait donc d’un prédateur qui préméditait ses actes.

Après mon agression tentative d’assassinat, j’apprendrai qu’il travaillait pour la mafia dans un club de jeux de la rue du Progrès à Bruxelles.

Des membres de la familles et une jeunes femmes se présenteront après juin 1997 pour me demander de retirer ma plainte. Il me sera offert jusqu’à 200 000 fb pour ce faire.

Jusqu’en janvier 1999, les choses traînent devant le tribunal de première instance. Mais fin janvier 1999, le gars apprend qu’il sera condamné.

Le 1 février 1999, je subis un passage à tabac à mort dans le métro bruxellois à la station Albert, vers 17h30. La grande aiguille est sur le 6 ; à cet endroit, 6 voies de tram se croisent dans le métro, et en surface, il s’agit d’un carrefour à 6 rues et avenues.

Je ne vais pas m’étendre sur cette symbolique.

Le passage à tabac se déroule sur un quai inutilisé et le quai d’en face est désert. Le pied de biche m’occasionnera 4 phalanges fracturées au pied gauche, une fracture du péroné et une autre du plateau tibial au genou gauche, 2 fractures de la rotule et une fracture du plateau tibial au genou droit. En tout 9 fractures sur les membres inférieurs.

Cette méthode mafieuse n’a jamais été prise en compte par la gendarmerie qui prétendra toujours que j’ai eu un accident avec un tram.

Si la gendarmerie avait fait son travail, elle aurait pu s’apercevoir d’après les horaires qu’entre 17h30 et 17h45, il n’y avait aucun tram qui passait par là.

Pire, lorsque début avril, je me souviendrai avec exactitude de ce qui s’est passé, - tout le monde le sait, lorsqu’un coup violent est porté à la tête, il peut y avoir occultation pendant un mois et demi à 2 mois des circonstances dans lesquelles on a reçu le coup, - je téléphonerai à la gendarmerie pour modifier ma déposition mais il me sera répondu : « Est-ce bien nécessaire ? »

Sur mon pantalon, on relèvera plusieurs traces identiques de la barre de fer utilisée, mais la gendarmerie n’analysera jamais ou ne fera jamais analyser mes vêtements.

Mon corps est ensuite jeté sur la voie qui est en pente à un niveau où le tram dévale littéralement la portion de trajet qui entre sous terre, d’où ma plainte agrémentée de la tentative d’assassinat.

Heureusement, une brave dame survenue sur le quai en face finira à force de gesticulations par arrêter le tram qui descend à toute allure. Le conducteur réussira à arrêter le véhicule juste à temps.

Pendant que les gendarmes du métro se disputent avec les gendarmes qui viennent d’arriver pour savoir qui prend en charge les opérations, des voyageurs non habilités retireront mon corps des rails et le déposeront sur le quai. La STIB (Société des Transports Interurbains Bruxellois) ne peut souffrir aucun retard.

Dans ma demi inconscience, je réussirai encore à faire récupérer par un ambulancier mon sac situé sur la partie supérieure du quai aveugle où l’agression s’est déroulée.

C’est vers 19h que mon corps arrivera aux urgences de l’hôpital Molière à moins d’un kilomètre de la station Albert.

Plus tard, ma femme viendra me voir et je lui dirai en plaisantant : « Je suis tout cassé. »

Dans la nuit, mon état se dégradera.

Une hémorragie interne au niveau de l’aorte postérieure ascendante nécessite une intervention d’urgence avec arrêt du coeur et circulation sanguine externe assurée par une machine.

Je ne m’attarde pas beaucoup.

Je vois les bonnets verts des chirurgiens autour d’une grande plaie béante, et puis, je m’en vais.

Je suis tout à coup dans les galeries du centre à Bruxelles et je repère une affiche avec un magicien. L’image de mon guide se superpose, une image translucide et je comprends instantanément que je dois la suivre.

Par bonds successifs et instantanés, je traverse de nombreuses galeries pour arriver sur des fonds marins.

Je vois très distinctement des bâtiment de forme hexagonale tapis sur le fond marin avec des galeries qui les relient.

Ensuite, je me retrouve devant mon guide en personne. Il m’accueille avec bienveillance et je ressens une compréhension inimaginable et un amour immense. Ses collègues m’accueillent de la même façon. Ils sont grands dans leurs tuniques blanches.

Nous communiquons par télépathie. Cela ne m’étonne pas. Je suis sujet à ce genre de phénomène de temps à autre depuis l’âge de 17 ans. Enfin, c’est vers cet âge-là que je m’en suis rendu compte.

Ces êtres peuvent envoyer leur propre image translucide à des distances énormes. Ils voient les morts comme moi. Les morts sont également translucides.

Ils s’occupent des humains morts ou momentanément morts.

Évidemment, je pose beaucoup de questions et ils me répondent. C’est comme ça que j’apprends plein des choses qu’on n’apprend pas à la surface de la terre. Les ondes, etc.

Cet apprentissage accéléré se fait dans la rigolade. Je m’amuse comme un fou.

Vu le fait qu’ils sont opaques comme le personnel de l’hôpital, je me doute que je suis dans un autre endroit de l’univers physique qui est peu ou pas connu des terriens.

Cela a l’air d’un centre de recherche.

Par la fenêtre, je vois des gens qui semblent récolter des algues.

Pour sortir dans la mer, ils sont munis de petits appareils qui extraient instantanément l’oxygène de l’eau environnante.

Je n’ai pas retenu tout ce que j’ai appris là-bas et il m’a fallu de longues années pour mettre de l’ordre dans mes souvenirs et faire les relations avec les choses de la surface terrestre afin d’être à même de pouvoir communiquer aux terriens quelque chose de cohérent.

C’est après coup que j’ai pu faire la relation entre cet endroit et la terre creuse et j’ai pu comprendre l’histoire du tunnel avec une lumière au bout. Il s’agit probablement de l’entrée nord ou sud de la terre creuse. Les morts ou les images de guides spirituels peuvent aller rapidement dans ce tunnel pour accueillir des parents ou des personnes qui ont le même type d’expérience que moi. La lumière vient d’un petit soleil au centre du globe terrestre.

Des humains sont allés là-bas. Voir le livre de Raymond Bernard, « La terre creuse ». Le journaliste scientifique Jan Lamprecht a démontré via les ondes sismiques de type P que le centre de la terre est un milieu gazeux. (Nexus 83, novembre - décembre 2012, p. 100) Le journaliste aurait mystérieusement disparu.

Il se peut que tous les terriens soient en liaison avec des personnes vivant à l’intérieur de la terre ou avec des personnes logées dans d’autres planètes.

En tout cas, vu que mon guide m’a rapidement repêché dès que je me suis éloigné de l’hôpital, ces personnes sont bien au courant de ce qui nous arrive.

Finalement, mon guide m’appelle parce que je dois retourner à proximité de mon corps.

Je n’ai évidemment pas du tout envie de revenir dans l’enfer des terriens. Je suis tellement bien où je suis. Mais il y a ma famille. Que vont-ils devenir ? Et cette procédure juridique en cours, elle doit aller à son terme.

Je reviens donc avec des pieds de plomb. Mais qu’ont-ils fait à mon corps ? Il est à la verticale. Et le téléphone, il va tomber. Oups ! J’ai oublié que je suis au plafond. Les choses se remettent immédiatement en bonne place.

A un certain moment, j’aperçois le mort qui occupait la chambre à côté de la mienne. Il est triste. Il me voit et me dit que son corps ne fonctionne plus.

Je vais voir et effectivement, son corps est inerte et n’a plus la moindre brillance.

Les êtres vivants ont en effet un certain éclat lorsqu’ils sont en vie. Ce n’est pas un éclat comme dans l’imagerie populaire, mais tout de même, ils dégagent quelque chose de lumineux très discret.

Le mort ressemble un peu à un vieil aborigène. Je donnerai plus tard son nom à ma fille qui ira vérifier à l’accueil si cette personne est bien morte durant la nuit. Ce sera le cas, et ce fait me permettra de faire davantage confiance à mes souvenirs de ces 18 jours.

Le mort me demande alors ce que je fais là. Je lui réponds que je fais dans la récupération en désignant mon propre corps. Cette réflexion le déride un peu et l’amuse.

Entre-temps, des petits bonhommes circulent autour de nous. Ils sont petits. 60, 80 cm de haut. Ils vont et viennent comme des somnambules. Ils ont les yeux vides. Ils rencontrent un mur, puis ils changent de direction. On dirait qu’ils ne nous voient même pas. On dirait des robots.

Plus tard, je ferai la relation entre ces petits bonhommes et les interfaces qui interconnectent toutes les parties du corps et qui maintiennent le corps en vie.

Je pourrai établir cette relation parce que les petits bonhommes disparaîtront en même temps que le mort.

En attendant, entre morts, nous avons une conversation de garagistes.

- Oh ! Le mien semble avoir été réparé. Oui, j’ai été averti.

- Je crois que le mien, il est bon pour la ferraille, me répond-il en rigolant.

- Oui, mais vous savez, il y a une fabrique de corps dans le coin. La maternité.

- Ah oui, un nouveau, ça m’arrangerait bien.

Bref, la rigolade continue.

Pour finir, il me salue puis disparaît par la fenêtre et les petits bonhommes disparaissent en même temps.

Ma vision en tant qu’esprit durera encore plusieurs jours au point de ne plus très bien savoir si je suis mort ou vivant. Après ma sortie de coma, des morts viendront encore me rendre visite, mais sans les petits bonhommes, et disparaîtront par la fenêtre.

Tout à coup, je perçois les choses via les sens de mon corps. Apparemment, j’y suis reconnecté.

Ma femme et mes filles sont là.

C’est à ce moment-là que je donne le nom du mort de la chambre à côté et que ma fille va vérifier.

Mais je suis très perturbé.

J’ai l’impression d’être dans un hôpital nazi où on fait des expériences sur les gens.

Comble du sadisme, il y a de la musique atroce qui est diffusée constamment.

Ma femme m’explique le problème qu’il y a avec mes reins. On doit me dialyser parce qu’ils sont bloqués, disent-ils. J’ai une longue cicatrice au milieu de la poitrine. J’ai mal aux mains. J’ai des attelles aux deux jambes. J’ai des bleus partout sur les membres inférieurs.

J’aurais eu des fractures sans déplacement, prétendent les médecins.

Plus tard, on essaie de me faire manger.

Ensuite, on me donne un médicament pour dormir, un anxiolytique, paraît-il. Cela aura pour effet de me rendre incontinent, de me faire dormir une heure, puis de me tenir éveillé toute la nuit.

Il faudra plusieurs jours pour qu’ils comprennent qu’il ne faut pas me faire ingurgiter cette saloperie. Ensuite, il y a le laxatif qui me constipe. Il faudra aussi du temps pour qu’ils comprennent qu’il ne faut pas me faire ingurgiter ça non plus.

Après ma première dialyse dans un état conscient, je retrouve des souvenirs de conversations du personnel médical où il est question que je sois dialysé à vie. Tu rigoles ou quoi ? Il n’en est pas question. Le lendemain, mes reins recommencent à fonctionner et un crétin de médecin vient me dire que j’ai de la chance.

Je suis alors transféré au service orthopédie. Je suis dans la tourmente parce que j’ai une envie monstrueuse de leur foutre mon poing dans la figure et une envie de les remercier pour avoir sauvé et réparé mon corps.

C’est avec soulagement que je finis par me tirer des griffes du personnel médical aux alentours du 14 mars. Je rentre chez moi.

Je pourrais encore mentionner d’autres petits faits concernant le milieu médical mais bon, inutile d’en rajouter. La médecine sur base de la théorie microbienne de Pasteur, l’imposteur, est fausse et des criminels ont passé leur temps à expurger toute la littérature anglophone des découvertes du docteur Béchamp. Heureusement, chez les francophones, on trouve encore des traces à propos des microzymas et de la notion de terrain chez Béchamp.

Eh oui, il est criminel en effet de généraliser l’usage d’une substance ou d’une onde sans tenir compte des caractéristiques de chaque organisme, sans avoir dressé un tableau des différents types d’organisme de façon à ne créer que des effets positifs. Le facteur risque bénéfice pour le patient n’est qu’une lamentable manière de justifier des crimes et des infirmités.

Heureusement, l’homéopathie, la médecine holistique ou systémique va dans le bon sens.

Je n’ai évidemment jamais parlé de mon vécu pendant mon coma. Ces tarés m’auraient peut-être interné quelque part comme c’est arrivé à d’autres non conformistes.

Mais je ne peux leur en vouloir puisque visiblement tous ces gens qui ont de bonnes intentions ont été trompés par des autorités malfaisantes, dont Pasteur.


Le fait le plus important, c’est qu’un proche m’a signalé que mon corps parlait pendant mon coma.

La chose m’a longtemps intrigué.

Qui occupait mon corps alors que je n’étais pas là ?

J’ai fini par réaliser que je me posais mal la question.

Il fallait se demander qu’est-ce qui était dans mon corps.

Eh bien, les petits bonhommes, bien sûr !


Ci-dessus, la composition de l’homme schématisée d’après l’expérience vécue.

L’esprit, le « je », la personne elle-même, la conscience de conscience, est représenté par un rond.

Le petit bonhomme vert est multiple et représente les interfaces chargés de gérer tout ce qui est automatique dans le corps. Multiple pourquoi ?

Parce qu’il y a différentes couches de fonctions qui maintiennent le corps en bon état.

Cela peut correspondre aux chakras ou aux couches de l’aura que certaines personnes peuvent voir.

Ces couches me sont apparues sous forme de petits bonhommes.

Si on fait une analogie avec l’ordinateur, on pourrait dire qu’il y a l’ordinateur, l’unité centrale, le clavier, la souris, la vidéo et différents appareils reliés à l’unité centrale.

Cela, c’est ce qu’on voit de la même manière qu’on voit le corps.

Ensuite, le ou les petits bonhommes verts, ce sont les différentes couches de logiciels qu’on ne voit pas. (Le système d’exploitation et autres logiciels.)

Le mental en bleu et l’esprit, c’est l’utilisateur.

Pourquoi l’esprit et le mental sont-ils à l’extérieur ?

Tout simplement parce que, chez la plupart des terriens, l’esprit et le mental sont à l’extérieur du corps.

Mais alors, qu’est-ce que c’est que toutes ces histoires concernant l’extériorisation, la décorporation et pourquoi nous dit-on que l’on réfléchit avec la tête ou le cerveau ?

Comme expliqué plus haut, nous sommes atteints de cécité cognitive. Nous ne nous rendons pas compte de ce que nous ne percevons pas. Ainsi la plupart des scientifiques matérialistes ne se rendent pas compte du vide. Dans le vide, il n’y a rien à percevoir, n’est-ce pas !

De même, nous percevons tout via notre corps et pour certains, il n’y a même pas d’esprit.

Si vous décidez de tout percevoir par les médias, et bien ce sera le cas et vous allez embarquer dans les mensonges les plus débiles, les pièges les plus machiavéliques, etc.

Comment se rendre compte que nous sommes des esprits ?

En écoutant les gens parler.

Il y a des expressions qui trahissent même le pire des matérialistes.

« Je me vois encore en train de faire telle ou telle chose. »

Pour avoir un tel souvenir, il faut forcément que la caméra soit à l’extérieur du corps pour enregistrer.

Mais on vous soutiendra mordicus qu’il s’agit d’expressions qui ne signifient rien du tout.

Autre observation : les personnes qui se trompent entre la droite et la gauche. Cela arrive parfois parce que la personne est en face de son corps.

Plus haut, j’expliquais que j’avais retrouvé des conversations du personnel médical et dans mes souvenirs, je ne voyais pas mon corps. C’est tout simplement parce que j’ai consulté les mémoires du petit bonhomme vert qui, lui, était resté dans le corps pendant que j’étais parti.

Mais lors d’évènements, il se peut qu’on ait des souvenirs incluant le corps, et ça, c’est l’enregistrement de l’esprit.

Les nombreuses expériences de mort imminente rapportées montrent que l’esprit est bien quelque chose de différent du corps. Cependant, on peut se déconnecter du corps avec ou sans sensation d’extériorisation.

Ma plus grande frousse, c’est le jour où place de la Monnaie à Bruxelles, j’ai vu des gens passer entre moi et mon corps. Si j’avais encore des doutes sur le fait que j’étais extérieur au corps, ils ont été dissipés d’un coup. Mais je n’ai guère de mérite. Depuis l’âge de 10 ans, je sais que je suis extérieur à mon corps, sauf que je n’ai que très rarement pu le dire à quelqu’un.

Comment se rendre compte que le mental n’est pas le cerveau et qu’il se trouve autour de soi ?

La plupart des gens à qui je dis que le mental n’est pas le cerveau et qu’il y a des exercices pour le vérifier, ces gens me regardent avec des yeux ronds et prennent la fuite en veillant surtout à ne pas me demander en quoi consistent ces exercices.

Pourtant si vous faites compter des animaux ou objets imaginaires à un enfant de 5 ans qui ferme les yeux, vous en verrez qui pointent leur petit doigt exactement là où se trouvent les images mentales. Bien souvent à 20 ou 30 cm devant eux. Les enfants ne mentent pas. C’est l’adulte qui ment parce qu’il a été matraqué par les « mettez-vous ça dans la tête » et autres « tu n’as rien dans le crâne ».

En s’asseyant sur un tabouret à une table et en faisant une copie mentale d’un objet, une tasse ou un verre, on peut facilement vérifier la chose.

Première étape, on se remémore la copie mentale en fermant les yeux et on la situe.

Deuxième étape, on fait faire un demi tour à son corps et sa tête.

Troisième étape, on se remémore à nouveau la copie mentale. Où est-elle ?

Dans presque tous les exercices honnêtes, la copie sera située derrière.

Si elle était dans le crâne, elle aurait dû faire un demi tour aussi.

Cet exercice démontre en même temps qu’il y a bien des ondes d’informations autour de nous.

Il n’est pas conseillé d’aller dire à un psy que le mental n’est pas le cerveau.

Tout le monde connaît également les enfants qui ont un ami imaginaire.

Les adultes sont des enfants qui ont grandi.

Quand ils ont un problème, ils éprouvent parfois le besoin de se confier à quelqu’un.

Les enfants, face à l’éducation dressage qu’ils reçoivent et qui leur pose parfois problème, ont tout simplement la même réaction.

L’ami imaginaire est soit une représentation mentale, soit un esprit qui erre dans la zone.

Certains enfants voient en effet des choses que nous ne voyons pas.

On le comprend aisément, les modifications de conscience sont du plus haut intérêt.


Quelques réflexions en guise de conclusion


Le circuit électrique fonctionnel, preuve de l’authenticité de l’expérience de mort imminente, devrait être diffusé en nombre afin de protéger tous les utilisateurs.

Plus nous sommes nombreux, plus il est difficile d’inquiéter ou nuire.

Il en va de même pour les connaissances du Dr Béchamp.

Cela vaut également pour d’autres techniques inédites.

Durant l’inconscience de quelqu’un, il est préférable de ne rien dire concernant l’état de la personne car les interfaces animales peuvent enregistrer des choses qui peuvent avoir une valeur hypnotique et déclencher des séquelles. Le blocage de mes reins illustre la chose.

A l’éducation dressage ou manipulatrice, on préférera l’apprivoisement par la compréhension et l’amour, ce dont j’ai bénéficié durant mon séjour dans le centre de recherche pendant mon coma.

Chaque individu peut choisir d’apprivoiser ses interfaces animales et en examiner les mémoires afin d’en découvrir les données nuisibles à l’harmonie du corps et des relations sociales. En prendre conscience suffit en général.

Ces interfaces peuvent avoir mis des mécanismes de protection comme le copiage de comportements qui ne sont pas ceux que l’esprit aurait préféré.

Il ne sert pas à grand chose d’ambitionner pouvoirs et richesses de manière excessive puisque tous les corps finissent dans une urne ou un cimetière sans un cent.

Quant à jouer au plus fort, c’est un jeu de perdant. Tous finissent par rencontrer à un moment ou un autre quelque chose ou quelqu’un de plus fort. Tous les empires se sont toujours effondrés.

En outre, vouloir figer le monde dans une dictature va à l’encontre d’une loi de la physique.

Lavoisier : « rien ne se perd, rien ne se crée, TOUT SE TRANSFORME ».

Cette loi contient implicitement la permanence du changement. Et c’est l’univers qui aura le dernier mot ; c’est certain.


Tous mes remerciements à mes agresseurs.


Luc Spirlet 15 octobre 2020